2011/05/01

La route n'appartient pas qu'aux marcheurs.

Jour 2: Saint-Palais - Ostabat 12 km


L'hospitalière des Franciscains nous prévient à notre départ : ça commence avec une grimpette. Bon maintenant je sais. Une grimpette, c'est pas une petite pente douce à monter. C'est une bonne côte qui monte et monte.

Ayant monté mes côtes et les ayant redescendue de l'autre, la route m'appartenait. J'étais enfin un vrai. Mais à un détour chemin une surprise m'attendait.




Les vrais propriétaires de la route se sont fait connaitre. Et en les voyant comme ça, protégeant LEUR chemin, j'ai aussi compris la provenance de toutes les petites pommes de route qui jonchait le sol. Après quelques négociations, les moutons ont repris leur chemin et nous l'ont prêtés, jusqu'à ce qu'il en ait besoin à nouveau...

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1 commentaire:

  1. Ça aurait pu être pire... Dans les villes espagnoles, les routes appartiennent à des taureaux avec de grandes cornes. Ça surprend, et ça pique aussi!

    Daniel A.

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